je range les bureaux, celui qui tient l'ordinateur et celui qui est dedans. des petites attentions

Meme de hugging wojaks Text: me and the rare esoteric wisdom that can only be gained through fucking around and finding out

je range aussi les tiroirs du navigateur web: dans l'onglet Santé communautaire, on se demande si les récits de vie peuvent-ils être des outils de changement social et de résistance aux injustices épistémiques ?, je déplace les actes d'une conférence Repenser l’institution et la désinstitutionnalisation à partir du handicap dans le dossier /Validisme pour explorer plus tard tous ces noms et instances inconnues, le pdf de Precarious life de Judith Butler se cache par là, est-ce que je le lirai un jour ? Introduction à la nécropolitique et au macabre des souverainetés contemporaines va dans le dossier Sauvegardé, il servira en références car j'apprécie le terme nécropolitique ; le Dictionnaire Politique d'Histoire de la Santé sera catégorisé comme un outil qui prendra la poussière ; je déplace l'article sur les Théories Queer et Crip dans /Validisme (on pourrait presque fusionner avec /Mad studies sous /Sanisme mmmh) ; je découvre oublié une brochure Contre l'innocence : rage, genre et politique du safe et ma curiosité s'ouvre plus qu'en ouvrant un article cairn sur syndicalisme et psychiatrie avec des militants CGT au Vinatier (années 1960-1970) ou un article sur la position intersectionnelle de chercheuses-alliées ; le pdf du bouquin d'Orlando Fals Borda Décoloniser les sciences sociales est à épingler comme grande lecture à prévoir ; le dossier de la revue inconnue Santé publique sur les recherches participatives en santé serait sans doute pertinent d'éplucher ; un papier en anglais sur le rôle des mad studies dans la décolonisation du système de santé mentale qui fait très envie ; une émission du Village 2 Santé d'Echirolles à écouter et le Centre de Recherche-Création sur les mondes sociaux à explorer.
Voici une partie de mon programme de cet été

Une photo d'une page de Capture en creux avec un extrait d'un article sur Kentucky Route Zero
	  There's a strong sens in Un Pueblo de Nada that everything is bound together with duct tape, spit, and hope, and that's it's all hanging by a thread. There's an acceptance of, but not surrender to, the idea that at some point the power may go out and not come back on, the rain may destroy the roorf, the creditors and banks and landlords may devour you, and all of these machines and places may go quiet forever. And geez, isn't that just how it feels right now ? Isn't that how it's felt for moere years than you could count? KRZ has always celebrated outsiders